Twice in 2015, people are killed by terrorists using AK47, in Paris. The screenshot below (from mainstream radio Europe1) says « shooting » as if they were random events. Completely delusional. France is now in a civil war. Bloodbath will inevitably follow.

Once Greeks had chosen a communist government over a socialist one (Tsirpas over Papandreou), the endgame was clear: default. Debt levels are just too high, and Greece as a whole is not productive enough and worse, not willing to produce more anyway to pay off its debts. Basically, the money printing by the ECB just went to Greeks through some government programs, a cut for the bankers etc. None went to actually fund any kind of project to fuel real production. You know, like building USEFUL things, buying machines, a new hotel, or anything of the kind.

So, what now? Well, default of course. But then, is there some hope? Well, to understand how Greece put itself where it is, let’s go back a few centuries, with the Ottoman Empire rule over Greece:

This period of Ottoman rule had a profound impact in Greek society, as new elites emerged. The Greek land-owning aristocracy that traditionally dominated the Byzantine Empire suffered a tragic fate, and was almost completely destroyed. The new leading class in Ottoman Greece were the prokritoi^[7] (πρόκριτοι in Greek) called kocabaşis by the Ottomans. The prokritoi were essentially bureaucrats and tax collectors, and gained a negative reputation for corruption and nepotism.

Yup, that’s from wikipedia. Their elite has been bureaucrats and tax collectors. You now know why their favourite sport is tax evasion. In recent times,  Greeks repeatedly made clear that they want their cake and eat it too. They want the others to pay for their swimming pools, retirement and healthcare. They’ve been brainwashed  and will NOT choose the only course that could get them out of the hole they themselves dug. Nope, they’re going to double down. They’ll print money probably, which will devaluate more or less rapidly. They’ll blame speculators for that, capitalists, entrepreneurs, bankers. Then supermarkets shelves will become empty. And they’ll again blame speculators, jews, and germans. And they’ll impose price controls over food, toilet paper and some other items. Then the infrastructure will start crumbling, subway lines won’t run anymore, because they won’t have the cash to pay for parts. And they’ll blame somebody else again.

Basically, Greece is now the first failed European state. It’s becoming Argentina-bis.

(and that’s another reason I moved to Canada from France: France will follow in less than a decade)

There are endless debates about free market versus government managed economy (call it socialism, crony capitalism, communism, fascism as well…).  What people fail to grasp is where this all leads at the end of the road (to serfdom). Of course socialism destroys economies, as it has been the case everywhere it’s been « tried », and that’s been the case throughout the majority of human history (no freedom of association, no property rights…) and still is for most of the world (think Zimbabwe, Venezuela, Russia…), but it does more than that. Socialism utterly destroys people culturally, mentally, physically.

France, by destroying its culture, by forcing islam on its population through education (state controlled of course, mandatory of course), is going full steam. But it’s also killing innovation, creativity. In a decade or two, there won’t be enough people to run the nuclear powerplants, the trains, and there already are major shortages of every kind of health care professional. People become damaged goods. Unable to think independently, unable to take any kind of initiative, always seeking risk-free paths, even if it means certain failure but acceptable because it’s the politically correct thing to do or there’s a consensus to do it. And when these people have kids, they raise them in the same values. They may feel the pain, they can’t fight the core values they’ve been told to hold dear for years.

France is doomed.

Il est maintenant bien rôdé le discours « européen »: quand un peuple ne fait pas ce qu’il « faut », on le refait voter, on ignore son vote, on démonise son vote… Christophe Barbier de L’Express propose tout simplement de faire fi du vote et d’imposer directement un gouvernement extérieur dans le cas de la Grèce. Puisqu’ils ne votent pas correctement, imposons leur un gouvernement.

Voici son raisonnement:

Christophe Barbier propose de supprimer l’entité… par Super_Resistence

Verbatim:

Faut-il laisser sortir la Grèce de l’euro si elle le souhaite ?  Absolument pas, ce serait ruiner tous les investissements qu’on a placés dans ce pays. Je ne parle pas des investissements bancaires, ce sont les risques du métier, je parle des investissements politiques. Les Etats de l’union Européenne ont accepté de faire entrer la Grèce dans l’euro pour des raisons politiques, c’est d’ailleurs pour ça que les comptes maquillés par les Grecs n’ont pas été dénoncés à l’époque. Il fallait la Grèce, berceau de la démocratie, il fallait la Grèce important pays du Sud, il fallait la Grèce pays voisin de la Turquie, dans l’eurozone, c’est-à-dire au coeur de la construction européenne. Il faut donc garder absolument la Grèce dans ce dispositif.

De deux choses l’une: soit il y a un gouvernement clair et net qui sort des élections le 17 juin, et avec ce gouvernement le rapport de force reprendra comme il dure déjà depuis l’époque Papandréou, soit il n’y a pas de gouvernement clair qui sort de ces élections et à ce moment là il faudra penser une tutelle, une vraie tutelle des 16 autres de la zone euro sur le 17ème. Et quand on dit les 16 on pense bien sûr les 2, la France et l’Allemagne.

Nous devons tout en termes démocratiques à la Grèce antique. C’est le moment de rendre à la Grèce ce qu’elle nous a apporté, c’est-à-dire une gouvernance morderne. Il faudra que de l’extérieur, de Paris de Berlin, viennent les instruments viennent les hommes viennent les méthodes pour remettre la Grèce dans le bon sens. Et oui cela veut dire réinventer un État, réinventer une fiscalité, tordre le bras à ceux qui ne jouent pas le jeu, que ce soit l’Église, les armateurs , les gros contribuables. Il faudra remettre les Grecs devant leurs défis, se réinventer un esprit national, sauver le pays mais dans le cadre d’une nouvelle nation qui s’appellera la nation européenne. Oui, il serait formidable finalement qu’on inventa la nation européenne en commençant par la case grecque, celle par qui tout a débuté il y a maintenant de longs et longs millénaires.

Je me demande comment Christophe Barbier propose de mettre en oeuvre cette « mise sous tutelle ». Avec des chars Leclerc sur la place Syntagma ? Ou un mix de Leclerc et de Lépoard 2 ? Avec le porte-avions Charles de Gaulle au large d’Athènes ? Comment compte-t-il faire abandonner aux Grecs leur souveraineté de manière pratique ? Au Parlement grec, la langue officielle sera-t-elle l’allemand ou le français ?

Je note aussi que la « construction européenne » a tout de l’Empire (façon Napoléon) ou II Reich (façon Keiser) puisque les « 16 » sont réduits à Paris et Berlin. Les autres n’ont certainement pas leur mot à dire, ou du moins pas d’opposition à apporter au « projet ».

L’Europe est vraiment mal barrée, la crise « financière », ie crise de surendettement des États obèses incapables de rembourser ayant tué plus ou moins toute vélléité d’activité privée rentable dans un cadre législatif stable, n’en étant qu’à ses débuts.

Quel soulagement d’être parti à temps de ce continent de fous.

Pour un antidote, je suggère de regarder Nigel Farage.

Alors comme ça le premier ministre grec Papandreou voulait faire un petit référendum sur le plan de sauvetage (enfin, le nième plan de sauvetage) des finances de son pays, et en fait des banques françaises et allemandes, et des banques ayant émis les CDS couvrant le risque de défaut de la Grèce.
Et puis trois jours plus tard, il veut plus. Entretemps il a tout de même viré l’état-major de l’armée.

Les multiples référendums sur les traités de Nice, puis Lisbonne, et que je te fais voter, que je te fais revoter, que je te fais passer le traité en douce via les députés alors que le peuple l’a rejeté… Il y a bien longtemps que l’Europe a perdu ses prétentions démocratiques. L’apparence des alternances dans certains pays (France, Allemagne…), la collusion la plus complète dans d’autres (Autriche par ex), tout cela vole en éclats une fois de plus.  Financièrement il sera difficile de creuser plus, mais pour le reste ?

La France sombre, chaque jour un peu plus. Exemple avec le traitement des problèmes liés à l’immigration massive depuis environ 40 ans.  A force d’importer en grande quantités de la main d’oeuvre de basse qualité, de faible éducation, de zones géographiques avec une culture de violence et non de droit, de cultures radicalement différentes de l’Occident chrétien, la France se retrouve avec d’énormes problèmes à gérer: criminalité, islamisation, désintégration sociale, véritable haine envers les « Français » (comprendre: les Blancs).

Alors quelle est la solution ? Simple. Empêcher les immigrés les mieux formés, les plus productifs, de faire leur vie en France. Il fallait y penser! Allez, OUSTE les diplomés étrangers. Quoi KPMG vous embauche ? Rien à foutre, DEHORS on vous dit.

Mais, psst, petit secret en passant: de toute façon obtenir les papiers nécessaires relevait déjà du parcours du combattant. le témoignage en lien est VRAI. J’ai eu de nombreux autres témoignages du même acabit, sur d’autres préfectures de Région Parisienne.

Bref: pour régler les problèmes de l’immigration clandestine, tapons sur les immigrants légaux!