La riposte israëlienne après l’agression palestinienne au cours de laquelle 2 soldats israëliens ont trouvé la mort, et un troisième a été kidnappé est parfaitement justifiée. Ce n’est évidemment pas du coup du Monde:
Le cas de Gilad Shalit prétexte à l’offensive israélienne
1. « Le cas »
On parle d’un enlèvement d’un soldat blessé. Dans le cadre des Conventions de Genève, dans un conflit armé, les soldats en uniforme blessés doivent avoir droit à un traitement médical si nécessaire, aux visites de la Croix Rouge etc. En l’occurence ce n’est pas vraiment ce qui préoccupe les terroristes palestiniens: eux préfèrent marchander la vie d’un Juif contre la libération de terroristes actuellement en prison en Israël (pour avoir perpétré des attentats, en avoir préparé, etc.).
2. « prétexte »
Israël a donc parfaitement le droit de poursuivre les criminels, où qu’ils se trouvent, où qu’ils se cachent. Et comme le gouvernement du Hamasland protège les terroristes (ce gouvernement étant lui-même composé de terroristes), il est tout à fait normal d’arrêter ses membres ou de chercher à les éliminer, qu’ils aient été élus ou non (les Nazis aussi avaient été élus).
3. « offensive israëlienne »«
C’est oublier opportunément qui a agressé qui. Et hop, les palestiniens passés à la blanchisseuse par Le Monde.
Au final c’est une offensive israëlienne, sous prétexte d’un vague « cas ». Les titres du Monde sont extrêmement réducteurs.
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